"The Earth in heritage", oil of canevas, 60 x 38 cm
Je partage peu de mes quelques peintures sur ce blog.
Par modestie ou manque de confiance en moi ? Je ne sais.
D'autres peignent tellement bien et réalisent des œuvres d'art sublimes.
En ce jour, j'ai choisi malgré tout de partager ma dernière peinture.
Peindre n'est pas ma profession, mais j'ai arrêté ma vie professionnelle pour apprendre ...
Je suis ainsi entrée dans le "Monde de l'Art", après de multiples découvertes, tels des Van Gogh, Cézanne, Nicolas de Staël, Matisse et bien d'autres ... connus ou inconnus.
J'aime la couleur car c'est la Vie !
En ce tableau, "The Earth in heritage (la Terre en héritage), j'ai voulu exprimer ce que je ressens face à notre Terre vue du ciel, vue des satellites, j'ai voulu me mettre la "tête dans les étoiles", poursuivant une quête vers un monde fragile certes, mais un monde qu'il nous faut préserver ...
Un très grand merci à une amie qui m'a aidé à reprendre confiance en moi en peinture ... Elle se reconnaitra.
A special thank you to a friend who helped me regain confidence in me, in painting ... She will recognize herself.
8 commentaires:
Je pense ici à ces paroles chantées par Nana Mouskouri ...
L'amour et la terre ne portent-ils pas en eux le même héritage ?
J'ai reçu l'amour en héritage
Un matin au pays des cigales
La folie et le génie voyagent
Bien au-delà du temps
Bien par dessus des océans
J'en ai lu j'en ai tourné des pages
Pendant mes années folles ou sages
Pour quelqu'un qu'on met pas en cage
C'est un beau cadeau
L'amour en héritage.
Et si ma vie se traduit en je t'aime
Si mes chemins ont croisé des torrents
On est toujours un oiseau de bohème
Une enfant de printemps.
J'ai reçu l'amour en héritage
Un matin au pays des cigales
La folie et le génie voyagent
Bien au delà du temps
Bien par dessus des océans
J'en ai lu j'en ai écrit des pages
Avant de poser mes bagages
J'en ai vu tomber des pluies d'orage
Avant de trouver
L'amour en héritage
Et si ma vie se traduit en je t'aime
Si mes chemins ont croisé des torrents
On est toujours un oiseau de bohème
Une enfant de printemps.
J'ai reçu l'amour en héritage
Un matin au pays des cigales
La folie et le génie voyagent
Bien au delà du temps
Bien par dessus des océans
J'en ai lu j'en ai écrit des pages
Avant de poser mes bagages
J'en ai vu tomber des pluies d'orage
Avant de trouver
L'amour en héritage
Que dire ... Que dire de plus devant un tel commentaire si beau, si tendre et paisible à la fois.
Le même héritage, oui, tu le chantes avec force, douce amie !!! Le même héritage de la terre, de l'amour.
Nous en avons vu tomber des pluies d'orage
Avant de trouver
L'amour, la terre, en héritage.
Si tout un chacun pouvait relire et écouter cette chanson en pensant à la paix, à l'amour, à l'amitié, à la solidarité, à la préservation de notre Terre.
Touchée infiniment une fois de plus.
Un immense clin de ♥ ce soir ...
Affectueusement.
Vous faites bien de prendre confiance en vous... L'art est d'estime de soi en partage... Donner, offrir à l'autre ce que l'on a de meilleur et récolter, recevoir les fruits de ce que l'on a semer...
Moi je vous dis : Magnifique !!! tant dans vos mots humblement posés, que dans l'art de peindre la terre et nous la rendre belle et visible... j'allais dire lisible... comme quoi !
Merci de m'avoir inviter à découvrir votre terre d'expression. Je suis ravie de ce que j'y découvre...
D'étoilement !
Sara Do
Merci Sara, ton commentaire me touche infiniment. Oui, dès que j'ai partagé ma peinture, elle ne m'appartient plus, elle est dans le cœur de celui qui la regarde. En écho, je reprendrai ton si beau poème repris de ton blog :
"Les étoiles entre elles...
Les étoiles entre elles se reconnaissent
sans mot, sans artifice
Les étoiles entres elles s'épanouissent
comme les fleurs des îles
J'assure l'instant en toile de fond
tais mes errances d'abandon
J'escalade le mur du silence
caresse l'ombre de l'absence
Le monde est grand, le monde est grand
il s'inspire d'alibi, de minimum garanti
il dessine l'infini indéfiniment petit
Le monde meurt à chaque instant
où rien n'est dit, où rien ne vit
J'accordéonne les étoiles entre elles
et je file les couleurs en douce
J'implore l'heure idéale
comme un défi au bord du vide
j'épuise mes notes de musique
le monde danse, le monde danse...
Les étoiles entre elles se reconnaissent
de toute part, de nulle part
Les étoiles entre elles se déshabillent
comme des petites filles
Je caresse une lame de fond
pleure un palais d'abandon
j'épuise le qu'en dira t'on
au fil de la déraison
Le monde est grand, le monde est grand
il s'inspire d'alibi, de minimum garanti
il dessine l'infini indéfiniment petit
Le monde meurt à chaque instant
où rien n'est dit, où rien ne vit
J'accordéonne les étoiles entre elles
et je file les couleurs en douce..."
©Sara Do
http://terragalice.blog4ever.com/blog/lirarticle-45469-242689.html
Oui, le monde meurt où rien n'est dit, où rien ne vit ... A nous de l'accordéonner !
Merci de tout cœur Sara.
J'aime aussi beaucoup la vidéo... ces "portraits" semblent vouloir nous délivrer leur message de crainte mais aussi d'espérance.
L'oeuvre s'anime pour nous dire la beauté mais aussi fragilité de la Vie ... écoutons-là ♥
Merci Annick de ton indulgence concernant la vidéo ...
Un jour peut-être j'arriverai à maîtriser cet outil de création de vidéos, sons et images ! ♥
Great!
Maria ~~
Obrigada Maria. Rien que ce mot "great" me touche tellement ! Thank you, merci. Hugs.
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